Visuel |
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Doré pâle
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Nez |
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Tourbé plutôt léger, entre goudron, bitume et créosote, avec une petite impression de cahoutchouc et de cendres. Le caractère "Laphroiag", à la tourbe plus chaude, iodée et saline, apparaît dans un deuxième temps mais reste très retenu, même s'il s'affirme un peu à la longue. Pas la puissance habituelle d'un Laphroiag.
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Goût |
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Attaque légèrement sucrée où l'on retrouve un peu le premier nez en attaque : goudron, bûche brûlée froide, note de cahoutchouc. Assez douce et sans grande ampleur. L'arrière-goût retrouve cette tourbe aux accent iodées, salins et de bacon fumé, ainsi qu'un peu d'ampleur. Aaah ! Là, on y est. S'y ajoute une note d'abricot sec. Le final reste dans la continuité de cette sensation plus "chaude", de feu de tourbe dans l'âtre, en bord de mer, toujours teinté d'abricot sec. Il est assez long, sans plus. Là encore, on était habitué à mieux.
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Appréciation |
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Pas désagréable, mais décevant pour un Laphroiag (surtout son attaque, assez plate et trop retenue). Les différentes expressions font bande à part au lieu de s'ajouter. Le "seulement" 40% alc/vol n'arrange sans doute rien.
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Date |
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2017
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